Oh man!
Je viens de regarder ce film called Kidulthood, premier film du réalisateur Menhaj Huda et écrit par Noel Clarke. C'est un film sur des jeunes, une journée dans la vie de jeunes d'un quartier chaud de Londres. Et bien, ça fait des crampes à l'estomac. Ça fait mal de voir comment ces jeunes essaient d'être grands en terrifiant les autres, en se mentant à eux-mêmes.
On s'imagine qu'il y a de l'espoir, mais c'est quoi la vie d'un gosse dans un quartier difficile? Je connais -un peu- le sujet et pourtant je m'interroge. C'est quoi la solution? Par ce que mes anciens gosses du collège, moi je les aime un peu trop, les voir galérer ça me tue. Ça me tue et en même-temps je sais même pas quoi faire. Ah oui, normal "t'es qu'une pionne, c'est juste un job, etc..." m'a-t-on dit. Alors ouais, à mon échelle je suis juste une poussière dans le désert de Gobi. Mais une poussière, c'est déjà quelque chose. "Il faut croire en son destin fabuleux/exceptionnel" a dit un jour une grande sage, alors oui, je crois au destin fabuleux des enfants, peu importe leur background social, ils ont la force d'Être et seront.
(ne vous moquez pas de mon emportée lyrique, je crois juste, des fois, qu'on peut changer le monde...)
Je viens de regarder ce film called Kidulthood, premier film du réalisateur Menhaj Huda et écrit par Noel Clarke. C'est un film sur des jeunes, une journée dans la vie de jeunes d'un quartier chaud de Londres. Et bien, ça fait des crampes à l'estomac. Ça fait mal de voir comment ces jeunes essaient d'être grands en terrifiant les autres, en se mentant à eux-mêmes.
On s'imagine qu'il y a de l'espoir, mais c'est quoi la vie d'un gosse dans un quartier difficile? Je connais -un peu- le sujet et pourtant je m'interroge. C'est quoi la solution? Par ce que mes anciens gosses du collège, moi je les aime un peu trop, les voir galérer ça me tue. Ça me tue et en même-temps je sais même pas quoi faire. Ah oui, normal "t'es qu'une pionne, c'est juste un job, etc..." m'a-t-on dit. Alors ouais, à mon échelle je suis juste une poussière dans le désert de Gobi. Mais une poussière, c'est déjà quelque chose. "Il faut croire en son destin fabuleux/exceptionnel" a dit un jour une grande sage, alors oui, je crois au destin fabuleux des enfants, peu importe leur background social, ils ont la force d'Être et seront.
(ne vous moquez pas de mon emportée lyrique, je crois juste, des fois, qu'on peut changer le monde...)
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